TIGULLIO, GOLFE DE RÊVE
Rapallo, Santa Marguerita, Chiavari, Camogli, San Frutuoso...
Rapallo, Santa Marguerita, Chiavari, Camogli, San Frutuoso...
Des artistes s’engagent explicitement en faveur de la cause environnementale. En 1968, l’Argentin
Nicolás Uriburu déverse un colorant vert fluorescent dans le Grand Canal de Venise pour dénoncer la
pollution, idée reprise en 2009 par le collectif HeHe (Helen Evans et Heiko Hansen) qui réussira,
malgré l’opposition des autorités, à coloriser au laser les fumées d’échappement d’un des plus grands incinérateurs d’Île-de-France, à Saint-Ouen. D’autres, comme l’Allemand Nils-Udo, interviennent poétiquement dans la nature avec des sculptures minérales ou végétales, mais sans se faire d’illusion sur la portée de leur œuvre.
Des artistes s’engagent explicitement en faveur de la cause environnementale. En 1968, l’Argentin
Nicolás Uriburu déverse un colorant vert fluorescent dans le Grand Canal de Venise pour dénoncer la
pollution, idée reprise en 2009 par le collectif HeHe (Helen Evans et Heiko Hansen) qui réussira,
malgré l’opposition des autorités, à coloriser au laser les fumées d’échappement d’un des plus grands incinérateurs d’Île-de-France, à Saint-Ouen. D’autres, comme l’Allemand Nils-Udo, interviennent poétiquement dans la nature avec des sculptures minérales ou végétales, mais sans se faire d’illusion sur la portée de leur œuvre.
Ces délices sucrés tout droit venus d’Orient sont le fruit de la rencontre entre les saveurs locales et les influences des différentes cultures arabes, persane ou ottomane
Du 16 février au 9 juin 2024, le Rijkmusuem consacrera une exposition à Frans Hals, virtuose du portrait au XVIIe siècle. A cette occasion, Vu pas Vu vous propose le temps d’une conférence, d’en apprendre plus sur le fils de Haarlem.
Du 16 février au 9 juin 2024, le Rijkmusuem consacrera une exposition à Frans Hals, virtuose du portrait au XVIIe siècle. A cette occasion, Vu pas Vu vous propose le temps d’une conférence, d’en apprendre plus sur le fils de Haarlem.
Le musée des Arts décoratifs rend hommage à la créatrice de mode néerlandaise Iris van Herpen,
aujourd’hui reconnue comme l’une des figures les plus avant-gardistes de sa génération. Conçue
comme une véritable exploration immersive et sensorielle dans l’univers de la créatrice, cette
rétrospective, fusionnant mode, art contemporain, design et science, s’articule autour de huit
thématiques qui recensent l’essence même de son travail.
Programme :
Cinq petits duos Cesar Cui : Badinage, Berceuse, Scherzino, Nocturne, Valse.
Trio Elegiaque n°1 Rachmaninov
Cinq pièces de Chostakovich
Prélude, Gavotte, Elegie, Valse, Polka
Vocalise : Rachmaninov
Le musée des Arts décoratifs rend hommage à la créatrice de mode néerlandaise Iris van Herpen,
aujourd’hui reconnue comme l’une des figures les plus avant-gardistes de sa génération. Conçue
comme une véritable exploration immersive et sensorielle dans l’univers de la créatrice, cette
rétrospective, fusionnant mode, art contemporain, design et science, s’articule autour de huit
thématiques qui recensent l’essence même de son travail.
A l'occasion de ce cinquième dîner culturel nous vous emmenons en voyage au coeur du Moyen-Âge pour un festin proposé par notre maître charcutier Nicolas Potier.
Dans un cloître gothique du XIIIe siècle au cœur de Colmar se trouve le retable d’Issenheim, un chef d’œuvre de Matthias Grünewald réalisé entre 1512 et 1516. Ce polyptique représente dans une somptueuse douleur la vie de saint Antoine et du Christ.
« Sur les routes de Samarcande » magnifie la renaissance des splendeurs artisanales au XIXe et au
début du XXe siècle, constitutives de l’identité ouzbèke. Le textile, à l’instar des puissances du monde
islamique, y joue un rôle capital ; la broderie de Boukhara, notamment, occupe une place
particulière parmi les nombreuses formes d’art d’Ouzbékistan. C’est durant l’émirat de Boukhara
(1785-1920) que la broderie d’or atteint son apogée et sa renommée en termes de technique, de
qualité et surtout de créativité. Nombre de productions splendides et monumentales – chapans,
robes, coiffes, tapis de selle mêlant couleurs et or – réservées à la cour et aux cadeaux diplomatiques
sont exclusivement confectionnées à l’atelier privé de l’émir et témoignent de son art de vivre
opulent. Bien d’autres pièces sont à découvrir au fil de l’exposition, offrant une perspective plus large
de la société de l’époque, dont les fameux ikats et leur florilège de couleurs, des tissages fruit de
techniques ancestrales, et des spécificités stylistiques régionales du Khorezm, de la vallée du
Ferghana ou de la région du Karakalpak, où des accumulations de bijoux prolongeaient le vestiaire
féminin.