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Rêveries nocturnes

LE PALAIS DE L'AGRICULTURE 113 Promenade des Anglais, Nice, France

En moins de vingt ans (le premier nocturne date de 1827 et les deux derniers de 1846), Chopin a écrit une vingtaine de nocturnes, une spécialité qui lui valut une bonne part de sa gloire terrestre.

12€ à 18€

Un poème d’amour, de vie et de mort

LE PALAIS DE L'AGRICULTURE 113 Promenade des Anglais, Nice, France

Si les Préraphaélites cultivent un idéal de beauté incarné dans la poésie et la peinture, ils n’en sont pas moins animés par une religiosité inquiète qui s’apprécie dans la dimension tragique de nombreuses œuvres.

20€ à 30€

Japonisme : Quand le Japon influence l’art occidental

LE PALAIS DE L'AGRICULTURE 113 Promenade des Anglais, Nice, France

L’influence de l’art japonais sur les artistes occidentaux s’affirme à la fin du 19ème siècle avec 
l’impressionnisme. Ce phénomène est d’ailleurs connu sous le nom de japonisme. En effet la reprise 
des échanges commerciaux Japon-Occident dès 1853 accroît l’intérêt pour l’art japonais et l’arrivée 
progressive de leur culture et leurs produits en Europe. C’est en 1872 que le collectionneur et 
critique d’art français Philippe Burty, utilise pour la première fois, le terme japonisme pour désigner 
l’influence grandissante du Japon sur les artistes occidentaux.

10€ à 15€

Sur les routes de Samarcande : Splendeurs des oasis d’Ouzbékistan

LE PALAIS DE L'AGRICULTURE 113 Promenade des Anglais, Nice, France

« Sur les routes de Samarcande » magnifie la renaissance des splendeurs artisanales au XIXe et au 
début du XXe siècle, constitutives de l’identité ouzbèke. Le textile, à l’instar des puissances du monde 
islamique, y joue un rôle capital ; la broderie de Boukhara, notamment, occupe une place 
particulière parmi les nombreuses formes d’art d’Ouzbékistan. C’est durant l’émirat de Boukhara 
(1785-1920) que la broderie d’or atteint son apogée et sa renommée en termes de technique, de 
qualité et surtout de créativité. Nombre de productions splendides et monumentales – chapans, 
robes, coiffes, tapis de selle mêlant couleurs et or – réservées à la cour et aux cadeaux diplomatiques 
sont exclusivement confectionnées à l’atelier privé de l’émir et témoignent de son art de vivre 
opulent. Bien d’autres pièces sont à découvrir au fil de l’exposition, offrant une perspective plus large 
de la société de l’époque, dont les fameux ikats et leur florilège de couleurs, des tissages fruit de 
techniques ancestrales, et des spécificités stylistiques régionales du Khorezm, de la vallée du 
Ferghana ou de la région du Karakalpak, où des accumulations de bijoux prolongeaient le vestiaire 
féminin.

12€ à 18€