C'est à Londres, en 1871, que débute la relation entre ces trois artistes. Claude Monet (1840-1926)
se réfugie dans la capitale anglaise en cette « année terrible ». Il y découvre les œuvres de Turner
(1775-1851), ainsi que les premiers Nocturnes de Whistler (1834-1903).
C'est à Londres, en 1871, que débute la relation entre ces trois artistes. Claude Monet (1840-1926)
se réfugie dans la capitale anglaise en cette « année terrible ». Il y découvre les œuvres de Turner
(1775-1851), ainsi que les premiers Nocturnes de Whistler (1834-1903).
La catastrophe de Pompéi qui s’est déroulée lors de l’éruption du Vésuve, en 79 av. J.-C., est
bien connue. Elle est à la fois un fait historique et un mythe. L’éruption du volcan,
l’ensevelissement, la découverte des corps et des objets du quotidien, les scènes que l’on
peut admirer sur des fresques, n’ont cessé de peupler notre imaginaire collectif. En 1804,
Chateaubriand saisit en une phrase la fascination qu’exerce cette ville récemment surgie du
passé : Une ville romaine conservée tout entière, comme si les habitants venaient d'en sortir
un quart d'heure auparavant !
Cette conférence, agrémentée de nombreuses images, vous propose de réfléchir sur la
relation particulière entre l’histoire et l’édification d’un mythe, à la lumière des quatre
éléments.
A la fin du XIXème siècle, l'eau devient plus attractive pour les activités de loisir. Si la
natation n'est pas encore bien développée, ce sont diverses embarcations qui apparaissent au bord
des rivières ou dans la mer. Les artistes au premier rang desquels se trouve Gustave Caillebotte, ne
s'y trompent pas et se lance dans des œuvres qui rendent compte de ces activités situées à mi-
chemin entre les loisirs bucoliques et le sport de haut niveau. Un imaginaire aquatique se crée alors,
tourné vers la modernité.
Des artistes s’engagent explicitement en faveur de la cause environnementale. En 1968, l’Argentin
Nicolás Uriburu déverse un colorant vert fluorescent dans le Grand Canal de Venise pour dénoncer la
pollution, idée reprise en 2009 par le collectif HeHe (Helen Evans et Heiko Hansen) qui réussira,
malgré l’opposition des autorités, à coloriser au laser les fumées d’échappement d’un des plus grands incinérateurs d’Île-de-France, à Saint-Ouen. D’autres, comme l’Allemand Nils-Udo, interviennent poétiquement dans la nature avec des sculptures minérales ou végétales, mais sans se faire d’illusion sur la portée de leur œuvre.
Des artistes s’engagent explicitement en faveur de la cause environnementale. En 1968, l’Argentin
Nicolás Uriburu déverse un colorant vert fluorescent dans le Grand Canal de Venise pour dénoncer la
pollution, idée reprise en 2009 par le collectif HeHe (Helen Evans et Heiko Hansen) qui réussira,
malgré l’opposition des autorités, à coloriser au laser les fumées d’échappement d’un des plus grands incinérateurs d’Île-de-France, à Saint-Ouen. D’autres, comme l’Allemand Nils-Udo, interviennent poétiquement dans la nature avec des sculptures minérales ou végétales, mais sans se faire d’illusion sur la portée de leur œuvre.
